mardi 31 décembre 2013

Bonne année et beaucoup de plaisirs pour 2014


Le 1er janvier est l’occasion pour chacun de souhaiter à ses proches une année remplie de bonheur, de santé et de réussite. Athenadental.fr vous souhaite une bonne et heureuse année 2014.

L'année 2013 nous quitte doucement, et l'année 2014 s'approche silencieusement. Ici je vous partage des poèmes de nouvel an, merci pour tous les auteurs.




L'an nouveau

Jean-Louis Le Dizet



Je vous offre avec l'an nouveau

Trois pousses de sureau



Je vous offre pour vos étrennes

Trois petits poils de renne



Pour arroser la vieille année

Trois gouttes de rosée



Pour honorer le bel an neuf

Une coquille d'œuf



Avec mes souhaits très sincères

Deux onces de mystère



Et si vous n'êtes pas contents

Contentez-vous d'un coup de vent ...



Une nouvelle Année…

Esteban Hache



Une nouvelle Année…

Comme un voile emporté au petit levé

Où le soleil flambe nos magnifiques idées

Pour assouvir tous nos rêves inachevés.



Une nouvelle Année…

« Bonne Année/ Bonne santé »

Plus qu’un désir pour nos aimés

Le choix d’une future réalité



Une nouvelle Année…

Un nouveau berceau pour notre humanité

Une trace, la preuve de notre destinée

L’expression d’une vie ainsi bien nommée.

LA RONDE DES MOIS

Gérard Rosemonde



Janvier prend la neige pour châle;
Février fait glisser nos pas;
Mars de ses doigts de soleil pâle,
Jette des grêlons aux lilas.

Avril s'accroche aux branches vertes;
Mai travaille aux chapeaux fleuris;
Juin fait pencher la rose ouverte
Près du beau foin qui craque et rit.
Juillet met les œufs dans leur coque;
Août sur les épis mûrs s'endort;

Septembre aux grands soirs équivoques,
Glisse partout ses feuilles d'or.
Octobre a toutes les colères,
Novembre a toutes les chansons
Des ruisseaux débordant d'eau claire,
Et Décembre a tous les frissons.
Les Pipeaux


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lundi 30 décembre 2013

Santé dentaire : les bonnes résolutions 2014

A 4 ans : pouce ou tétine, j'arrête !

Le pouce et la tétine peuvent rassurer les enfants, les aider à trouver le sommeil et surmonter leurs petits malaises. Toutefois, ces habitudes ne sont pas anodines, et des déformations de la bouche ou des dents peuvent en résulter si la succion persiste trop longtemps. La FFO recommande de supprimer cette habitude au plus tard à l’âge de 4 ans. Des techniques existent pour aider les enfants à abandonner le pouce ou la tétine : n’hésitez pas à consulter votre orthodontiste !

A 6 ans : première visite chez l’orthodontiste, qui pourra si nécessaire mettre en place un traitement précoce

Si les traitements orthodontiques commencent en général vers l’âge de 8 ans, des décalages sont parfois remarqués chez les très jeunes enfants. Ces situations peuvent être très handicapantes car elles gênent la mastication et entraînent un refus des aliments durs ou un peu résistants. Un appareil n’est pas toujours nécessaire, un simple meulage et le port de gouttières souples quelques heures par jour peuvent suffire. Il est donc important, en cas de doute, de consulter son chirurgien-dentiste dès 6 ans, ne serait-ce que pour une visite de routine.

A 8 ans : je respire par le nez

La langue façonne la forme des maxillaires en développement chez l’enfant, alors que ces os sont encore souples et reliés par une suture. Si la langue est bien placée, elle concourt à un bon développement du palais et de la base du nez, car les deux structures sont liées. En revanche, un enfant qui a le nez bouché va adopter une respiration par la bouche, entraînant immédiatement une descente de la langue… qui ne joue ainsi plus son rôle. Si cette posture persiste, la mâchoire supérieure reste étroite, et avec elle la partie basse du nez. Un cercle vicieux s’installe, car la respiration par le nez est plus difficile, et la langue conserve sa position basse.

Cette insuffisance de développement de la mâchoire s’accompagne de problèmes orthodontiques, par manque de place pour les dents définitives ou déformation. Pour remédier à ce problème, différents traitements existent, ORL, mais aussi orthodontiques. Le médecin spécialiste préconisera la solution la plus adaptée à la situation.

A 12 ans : je ne relâche pas mon hygiène bucco-dentaire !

C’est en moyenne à 12 ans que la denture adulte se met en place. C’est également à cet âge que commence le traitement orthodontique avec bagues. Il est très important que le jeune adolescent respecte les règles d’hygiène bucco-dentaire car la pose d’un appareil augmente le risque de carie : il facilite en effet l’accumulation de débris alimentaires et la stagnation de la plaque dentaire. A long terme, le traitement orthodontique améliore l’hygiène bucco-dentaire, car de bonnes habitudes ont été prises et l’alignement favorise un meilleur auto-nettoyage.

A 16 ans : j'enlève mon piercing buccal

Très répandu chez les jeunes, le piercing buccal (langue ou labret) n’est pas sans conséquence sur les dents et les gencives. Témoins des complications immédiates ou à long terme, les orthodontistes mettent en garde sur les risques de cette pratique de plus en plus tendance. Si le problème majeur des piercing buccaux est l’infection locale, d’autres complications, liées aux traumatismes répétés des piercings, sont fréquentes et se constatent sur la durée : fractures ou usures dentaires, récession de la gencive, perte d’os voire un déchaussement des dents... L’orthodontiste peut prendre en charge ces complications, mais l’adolescent doit surtout être informé des risques engendrés par la pose d’un piercing sur la langue ou la lèvre, et être encouragé à le retirer pour le bien de ses dents et de ses gencives.

Et aussi à l'âge adulte !

Contrairement aux idées reçues, l’orthodontie concerne également les adultes. Que ce soit au moment de l’entrée dans la vie professionnelle ou pour s’épanouir après 50 ans, le recours à des traitements orthodontiques est de plus en plus fréquent. Les adultes sont en effet sensibles aux dernières avancées technologiques et aux techniques plus douces et plus discrètes.

Alors cette année, pas d’excuse ! De 4 à 77 ans, la résolution n°1 : c’est de prendre soin de ses dents !

vendredi 27 décembre 2013

Modèle anatomique

Un modèle anatomique est une représentation réelle précise de l'anatomie d'une région corporelle d'un patient.

Applications

Il est souvent utilisé comme une aide préopératoire permettant de planifier une chirurgie ou de valider la fabrication d'implants.

Certains modèles anatomiques plus standards peuvent être utilisés pour l'enseignement.

Technologies

Tous représentent une zone spécifique du corps.

Ils peuvent être en divers matériaux pour représenter au mieux la réalité.

Critères de choix

Le choix d'un modèle anatomique s'effectue principalement en tenant compte du réalisme et de l'échelle souhaités.

http://www.athenadental.fr/category-2077-b0-Mod%C3%A8le-anatomique-dentaire.html

jeudi 26 décembre 2013

Qu'est-ce que la teinte de vos dents

En dentisterie, il n’existe pas de système standard permettant de mesurer et de déterminer la couleur d’une dent. Chaque situation est unique, de la même façon qu’il n’existe pas de réponse exacte à la question : « Combien de teintes de blanc mes dents peuvent-elles gagner ? ». Cependant, il existe un outil de référence très utilisé : le nuancier.

http://www.athenadental.fr/VITA-Toothguide-3D-MASTER%C2%AE-Relev%C3%A9-de-teinte-Toothguide-1676507.html

L’un des nuanciers les plus utilisés répartit les couleurs de dents en quatre catégories :

A (marron-rouge)
B (jaune-rouge)
C (gris)
D (gris-rouge)

À chaque catégorie correspondent différents niveaux de teinte – un tableau suffisamment détaillé pour que chacun puisse déterminer la couleur exacte de ses dents selon ce nuancier.

Pour utiliser ce guide, il vous suffit simplement de comparer la couleur de vos dents à la couleur correspondante dans le nuancier. Cela vous donnera une première idée de l’importance du blanchiment que vous souhaitez obtenir.

Quel degré de blancheur doivent atteindre vos dents ? Cela dépend.

Il n’existe pas qu’une seule façon de blanchir vos dents. Certaines personnes recherchent un changement immédiat et spectaculaire, d’autres préfèrent avoir recours à un blanchiment progressif, tel que le permet un dentifrice ou un gel blanchissant. Les résultats, au final, dépendent de la couleur naturelle de vos dents, de la résistance de certaines taches, et du traitement que vous choisissez. Gardez ceci à l’esprit :

Un blanchiment équivalent à deux ou trois teintes peut faire la différence, pour n’importe quel sourire
Alors qu’un blanchiment permet de gagner dans certains cas jusqu’à neuf teintes, le gain se limite en général entre deux et sept teintes.
Chaque méthode s’accompagne d’avantages et d’inconvénients. Le blanchiment au laser et d’autres techniques en cabinet dentaire, par exemple, produisent des résultats spectaculaires, mais coûtent aussi bien plus cher.

Aujourd’hui, on a un outil plus complexe et plus utile. C’est le VITA Toothguide 3D-MASTER® avec BLEACHED SHADE GUIDE.
Avec le VITA Toothguide 3D-MASTER, il est possible de définir toutes les teintes de dent naturelles d’une manière sûre et systématique.
Avec le VITA BLEACHED SHADE GUIDE, il est possible de définir les teintes des dents blanchies d’une manière sûre et systématique, selon le principe du VITA Toothguide.

Seulement trois étapes, on peut relever la teinte de la dent.
1 e étape: Luminosité (Value)
A la première étape, il s’agit de définir la luminosité à l’aide des échantillons situés dans la partie supérieure du Toothguide (1M1, 2M1, 3M1, 4M1, 5M1) en suivant le principe du oui ou du non.

2 e étape: Saturation (Chroma)
A la seconde étape, vous définissez la saturation à l’aide des barrettes et selon le même principe.

3 e étape: Teinte (Hue)
A la dernière étape de cette définition de teinte systématisée, vous contrôlez si la teinte doit être plutôt jaunâtre – L ou plutôt rougeâtre – R. Si vous respectez ces trois étapes, vous définirez plus rapidement et avec certitude la teinte de dent correcte.

http://www.athenadental.fr/VITA-Toothguide-3D-MASTER%C2%AE-Relev%C3%A9-de-teinte-Toothguide-1676507.html

mercredi 25 décembre 2013

Finition Intérieure d'un cabinet dentaire

La touche finale
Une fois que nous avons conçu le cabinet idéal pour vous, pourquoi ne pas nous laisser terminer le travail? Notre groupe de conception intérieure offre un lqrge choix des meubles cabinet dentaire,un service additionnel à nos clients dans le choix des couleurs et des matériaux appropriés à l’environnement dentaire.

Nous offrons deux services de conception intérieure :

Consultation : Nos concepteurs consultent le docteur, recommandent et soumettent des échantillons de conception intérieure appropriés à l’environnement dentaire; ils préparent les devis pour le docteur et l’entrepreneur afin d’acheter localement.
Service complet : Nos concepteurs désignent les matériaux et meubles appropriés au cabinet dentaire, préparent les horaires, les documents de contrat, passent les commandes de matériaux, coordonnent les livraisons et les horaires d’installation avec l’entrepreneur, le docteur et le spécialiste en équipement dentaire d’Henry Schein.
Les deux services aident le docteur à choisir :

Revêtements de sol – Tapis commercial, vinyle, tuile de céramique, planches de vinyle ressemblant à du bois
Recouvrements de mur et peinture – Recouvrement commercial, fini de spécialité
Meubles/tissus – Finis appropriés et tissus de qualité pour tous les meubles des salles d’attente, de consultation et du personnel avec attention spéciale aux besoins ergonomiques en milieu d’affaires, laboratoire ou en cabinet privé
Tuiles de plafond – Métal, acoustique
Revêtements de fenêtres – Choisis spécialement selon les besoins des clients
Art et accessoires – Art personnalisé, miroirs, supports à manteaux et à revues
Surfaces laminées, au quartz et solides.

http://www.athenadental.fr/category-2084-b0.html

mardi 24 décembre 2013

Modèle dentaire de démonstration

 A quoi sert un modèle dentaire de démonstration ?

Avec l’ensemble de nos modèles de démo, les explications complexes deviennent un jeu d’enfant. Prothèses, bridges, couronnes, dents sur pivot, opérations chirurgicales... peuvent alors être clairement décrites grâce à ces modèles très ressemblant avec la réalité.

  Les prothèses

 Nos modèles de prothèses amovibles transparents permettent de visualiser très facilement : implant, facette, couronne, bridge, bridge maryland, onlay et inlay en céramique...

  L’orthodontie

 Les problèmes de malformation du maxillaire inférieur et supérieur provoquent une déviation des dents, avant nécessité de traitement d’orthodontie. Pour expliquer à vos patients à quoi ressemble leur dentition avant traitement et ce à quoi elle ressemblera après traitement, nos modèles malocclusion de prothèse dentaire pour adulte, transparents et roses sont parfaits.

 La pédodontie

 Aider les enfants et leurs parents à visualiser une dentition dans laquelle s’immiscent des dents de sagesse, voilà l’objectif de nos modèles pédagogiques en résine transparente pour enfant. Nos modèles représentent des mâchoires d’enfant de 4 ans et 9 ans.

 L’anatomie

 Si vous souhaitez montrer l’anatomie humaine de la tête, nous vous proposons un crâne

en résine façon os à l’échelle 1. Il est présenté avec maxillaire, mandibule et 28 dents en occlusion.

http://www.athenadental.fr/category-2077-b0-Mod%C3%A8le-anatomique-dentaire.html

lundi 23 décembre 2013

Joyeux Noël et à très bientôt



Cher client et chère cliente

Lorsque Noël approche, c’est le moment pour gros repas de famille, cadeaux, friandises…Laissons de coté les soucis de la vie, le train-train quotidien et le stress du travail pour se réjouir et fêter ensemble, en famille ou avec les amis.

Les fêtes de fin d’années consultent pour nous une très bonne occasion de vous présenter nos gratitudes et nos meilleurs voeux pour l’année suivante. Plus d’un client, vous êtes pour nous un véritable ami et nous vous souhaitons une bonne santé et beaucoup de bonheur.

C’est des gens comme vous qui ont rendu si agréable notre travail tout au long de l’année. Athenadental.fr vous remercie de votre collaboration et de votre confiance, et vous souhaite de joyeuses fêtes de Noël et une bonne et heureuse année 2014 !

Recevez, monsieur / madame, nos salutations distinguées.

Cordialement,
Equipe Athenadental.fr

Site web: www.athenadental.fr

samedi 21 décembre 2013

Micromoteurs dentaires

Quand on est bousculé, qu'il y a urgence ou que l'intervention est particulièrement délicate, on a besoin d'un micromoteur dentaire sur lequel compter.



Un micromoteur ou micro-tour dentaire est un instrument au bout duquel est insérée une fraise et qui permet de travailler les dents.



Il existe des micromoteurs à air ou électriques. Cela différencie par l'alimentation de force. Les moteurs à air sont utilisés avec un compresseur dentaire ou un fauteuil dentaire; il vous faut un boîtier de contrôle pour fonctionner les micromoteurs électriques.



Il existe aussi une autre classification du micromoteur. Moteur dentaire sans charbons et moteur avec brosse charbone. Les moteurs sans charbons s'adaptent bien au travail précis, sa vitesse est plus élevée et son couple est plus puissant; ils sont plus durables, mais le prix est aussi plus coûteux. Les micromoteurs avec brosse charbone sont plus bon marchés, mais il vous faut changer la brosse charbone après une péride d'utilisation.



Certains modèles sont utilisés directement en bouche tandis que d'autres sont plutôt utilisés dans des laboratoires de prothèse.



Utilisé à des vitesses lentes, il sert à des actions de déblayage alors qu'à grande vitesse un micromoteur dentaire permet des travaux de précision comme le retrait d'une carie par exemple. Mais dans ce cas, l'utilisation d'un petit jet d'eau est nécessaire pour diminuer l'élévation de température due à la vitesse.



Pour bien choisir un micromoteur dentaire, il convient de s'intéresser à la plage de vitesse de ce dernier ainsi qu'à sa précision et à sa facilité d'utilisation.



Plus d'infos, cliquez ici: http://www.athenadental.fr/category-1932-b0-Marathon-Micro-moteur.html

vendredi 20 décembre 2013

Prendre sa tension à son domicile

Appareils d'automesure

Des appareils de mesure de la tension artérielle, comme les oxymètres de poul, permettant de prendre sa tension à son domicile sont recommandés afin de mieux surveiller sa tension artérielle. Les chiffres de la tension artérielle peuvent varier au cours de la journée, d'une heure, voire d'une minute à l'autre et d'un jour à l'autre. La tension artérielle a tendance à baisser la nuit et à être un peu plus élevée le matin.
Effet blouse blanche

Les chiffres de la tension artérielle peuvent également âtre plus élevés chez le médecin en raison de l'effet d'angoisse, encore appelée effet blouse blanche, provoqué par la consultation médicale. Le stress, la colère et l'énervement sont des facteurs pouvant augmenter la tension artérielle.
Avantages de l'automesure

Les relevés de la tension artérielle à domicile reflètent le plus souvent la réalité de la tension. L'automesure de la tension artérielle permet de multiplier les mesures et de mieux définir le niveau moyen de tension. Prendre sa tension chez soi, dans des conditions de repos optimales, permet d'avoir une idée plus précise du chiffre moyen de la tension artérielle. Ces chiffres permettent également au médecin de surveiller l'efficacité du traitement
Comment effectuer la mesure ?

S'asseoir tranquillement, dans le calme et attendre 5 minutes environ avant de la prendre.
Règle des 3

Il faut prendre la tension artérielle 3 jours de suite dans la semaine précédant la consultation du médecin.
3 mesures consécutives

Le matin entre le lever et le petit-déjeuner, à quelques minutes d'intervalle.
Le soir entre le dîner et le coucher, à quelques minutes d'intervalle.


Certains appareils permettent automatiquement la prise successive de 3 mesures de la tension artérielle.( technologie MAM)
Conserver le relevé des mesures

Noter les mesures de chaque prise de tension artérielle sur la feuille prévue pour ce relevé.
Ne pas oublier pas de l'apporter à son médecin.

http://www.athenadental.fr/Oxym%C3%A8tre-de-pouls-des-enfants-CMS50QB-1676405.html

jeudi 19 décembre 2013

Lors de votre choix du matériel dentaire

1. La distribution des instruments.
La première question à se poser est : “Pour quel type de préhension d’instruments dois-je opter ?” On trouve globalement sur le marché 3 possibilités de préhension des instruments.
Les units transthoraciques à fouets : Contrairement aux Etats-Unis et aux pays germaniques, ce type d’équipements est très répandu en France, il a comme principaux avantages une préhension rapide des instruments, et ils permettent aussi le travail dans de nombreuses positions. Ce type de distribution offre la possibilité de prendre et de reposer l’instrument quasiment en “aveugle” c’est à dire sans trop regarder où il se trouve. De nombreux fabricants européens ont développé des argumentaires d’ergonomie autour de ce concept.
Par contre, ils obligeront l’utilisateur à des mouvements de dégagement et d’approche du porte-instruments dès que l’on changera la position du patient. Important, il est un critère rarement pris en ligne de compte dans notre pays, c’est la perception par le patient de tous ces instruments, souvent intimidants, placés sous son regard. Le porte-instruments devra être placé au plus près de la cavité buccale (longueur de cordons oblige) ce qui entraînera très souvent une mauvaise position de la tablette porte-tray se retrouvant trop haute. Ces tablettes étant de surcroît rarement horizontales et peu stables. De plus quand un patient corpulent est en place sur le fauteuil la tablette porte-instruments se retrouve elle aussi beaucoup trop haute. A moins d’être un inconditionnel très pointu de l’ergonomie, mieux vaut enlever la petite tablette porte-tray du porte-instruments et disposer d’un petit meuble mobile bien plus stable et à hauteur de main, pour y placer les plateaux d’instruments à main et les produits utilisés pendant l’acte.
Lors du choix d’un équipement transthoracique à fouets, il faudra veiller à ce que ces derniers (perches) ne soient pas trop longs afin de ne pas taper dans l’éclairage opératoire à chaque préhension ou repose d’instruments. Les units à fouets ont aussi un autre inconvénient, si les joints des raccordements d’instruments sont endommagés ou si un problème de coupure de spray intervient, ils peuvent se mettre à “goutter” sur les patients (fréquent dans les régions ou l’eau est très calcaire) ou si vous ne changez pas vos joints de nez de micro-moteurs ou de raccord rapide de turbine au moins une fois par an.
Pour finir sur ce type de distribution d’instruments, vérifiez d’avoir une longueur de cordon assez longue pour travailler dans différentes positions sans avoir à bouger la tablette intempestivement, et pensez à toujours les essayer avec une personne faisant office de patient sur le fauteuil et avec l’éclairage opératoire en position de travail.
Les units “transthoraciques” à cordons pendants : Très répandus dans les pays cités plus haut, ils sont exclusivement conçus pour le travail à 4 mains en position “11H / Midi” Les principaux avantages sont le bon positionnement de la tablette porte-tray qui se trouve en position “pont” au dessus du thorax du patient et la tablette porte-instruments se trouvant hors du champs de vision du patient. Les cordons sont très souvent assez longs pour permettre un travail entre les positions 11 H et même13H.
La préhension des instruments se faisant en pivotant tout le corps sur son tabouret par une petite poussée latérale au niveau des pieds (qui restent en place !) Toute la colonne vertébrale ne bouge pas, et le bras qui permettra la préhension ou la repose de l’instrument sera placé très proche du corps, avec uniquement l’avant bras à 90°. Cette méthode de préhension est des plus confortable, pour peu de la tester objectivement. Côté des inconvénients, on notera le peu de latitude de positionnement du porte-instruments, très contraint en position de hauteur par le “volume“ du patient et comme pour les units à fouets les manipulations d’amenée et de dégagement du porte-instruments dès que le patient doit changer de position (prise d’empreinte, entrée ou sortie du fauteuil)
Pour terminer, ce type d’équipement est assez peu recommandé avec les cabinets où se trouve du carrelage, la moindre chute d’un instrument mal reposé l’enverra illico en réparation.
Les units “garage” (appelés aussi Wall mount) et les carts : En France ils sont souvent boudés à tort, ou tout simplement parce que vos interlocuteurs commerciaux n’en ont pas à proposer, car ils apportent énormé- ment d’avantages et peu d’inconvénients. Ils comptent parmi leurs avantages d’accueillir le patient sans “agressivité” et permettent également un très bon positionnement dans l’espace du porte-instruments en offrant également un porte-tray à une hauteur correctement exploitable. La longueur de cordon est généralement optimale pour travailler en position 11H-Midi avec une grande liberté de mouvements.
Les units à base pneumatique : Pour la plupart d’origine américaine, ces matériels ont été conçus sur une base essentiellement “tout air”, c’est à dire capables (hormis le fauteuil) de fonctionner uniquement avec de l’air comprimé ! Les moteurs et détartreurs devant être eux-mêmes pneumatiques. Le problème, c’est qu’en Europe, nous avons forcé la main des Américains pour y adjoindre des instruments électriques, plus perfor- mants et moins bruyants que les instruments “tout air” que peut d’omnipraticiens acceptent. (Ne pas oublier qu’un contre-angle rouge 200 000 t/mn) ne peut fonctionner avec un moteur à air)
Ces units doivent impérativement être installés dans un espace de 80 cm à 1 m sur la droite du fauteuil, il faudra aussi que la pédale et son cordon de liaison sorte côté du fauteuil sous peine de galères d’utilisa- tion. (Donc prévoir lors des travaux de pré- installation un fourreau de passage entre le meuble où sera installé l’unit garage et le fauteuil, d’où sortira le cordon de pédale)
La préhension des instruments se fera de la même façon qu’avec les units transthoraciques à cordons pendants, sans l’incon- vénient du bras au dessus du fauteuil. Très appréciable également le fait de pouvoir installer ou faire sortir le patient, sans rien avoir à bouger ! C’est uniquement lorsque vous vous lèverez de votre tabouret que vous raccompagnerez le porte-instruments dans son garage.
Au rang des rares inconvénients, on notera comme pour les précédents les réserves pour les sols carrelés.
2. La technique de fonctionnement.
Il cohabite 3 techniques principales de fonctionnement :
Les units à base pneumatique.
Les units à base électro-pneumatique.
Les units à base électrique.
Ces matériels devenus hybrides sont relativement spartiates au niveau des per- formances de travail, par exemple les micro- moteurs sont alimentés par des systèmes de convertisseurs pneumatiques-électriques n’offrant pas une grande linéarité de fonc- tionnement. La pédale de la plupart de ces units est conçue à la base pour des moteurs pneumatiques qui n’ont aucun couple s’ils ne sont pas à pleine puissance, ce qui veut dire qu’elle n’offre pas une possibilité de réglage en finesse de la vitesse ou de la puissance des instruments électriques qui y ont été installés. Ces matériels nécessitent en plus une seconde pédale de commande pour le fauteuil, quand ont voit déjà le nombre de pédales se trouvant dans la plupart des cabinets !
Côté sympathique, cette technique de fonctionnement est assez fiable, car peu “électronisée” mais il faut quand même garder à l’esprit que s’il y a moteurs électriques, la lumière sur les instruments et un détartreur piezoélectrique, il y a aussi platines électroniques !
Au niveau de la commande des fluides (eau et air de spray, air d'entraînement ou de refroidissement) cette technique utilise des blocs de distribution pneumatiques, solution la plus tranquille à ce niveau, sur- tout au niveau des commandes de spray très sensible au calcaire de l’eau. Les équipements de cette famille, sont très adaptés à l’orthodontie, où l’on demande moins de performances et de confort à un équipement.
Les units à base électro-pneumatiques :
Il reprennent la partie la plus fiable des units à base pneumatique, c’est à dire la commande des fluides instruments par des systèmes de blocs de distribution pneumati- ques, il n’y a que la sélection du bloc actif qui se fait par une électrovanne de com- mande, sur le circuit d’air uniquement !
Les avantages de cette technique “élec- tro-pneumatique” sont très nombreux. Pour commencer, les équipements de cette famille sont conçus à la base pour faire fonctionner nativement des instruments élec- triques (Micro-moteurs, détartreurs piézo- électriques...) ou électro-pneumatiques (Tur- bines ou détartreurs soniques lumineux) Ils offrent plus de souplesse d’utilisation que les précédents, à commencer par le contrôle fin de puissance ou de vitesse des instruments, ils permettent aussi, bien souvent des possibi- lités de programmations et de mémorisations des paramètres de travail au niveau des instruments. Ces équipements pour la plus grande majorité d’origine européenne, répondent en général beaucoup mieux à nos attentes que les matériels américains plus ou moins bien électrifiés. En ce qui concerne la pé- dale, elle commande bien souvent égale- ment le fauteuil en plus des instruments.
Les units à base électrique : Cette tech- nique est assez simple à mettre en oeuvre pour les fabricants, elle ne recours qu’à des électrovannes (une par fonction) Il faut sa- voir que c’est le choix le moins fiable et le plus gourmand en énergie de la tribu, no- tamment en ce qui concerne les commandes d’eau qui sont plus sensibles aux résidus parasites véhiculés par l’eau (calcaire, al- gues, sable, rouille,...)
La base “tout électrique” permet assez facilement toutes sortes de fantaisies de fonctionnement et de programmation à l’instar de sa cousine électro-pneumatique.
3. Le genre d’équipement.
Là il s’agit de présentation de l’ensem- ble unit et même unit-fauteuil. On trouve donc des équipements comme suit : - Bornes fixées au sol indépendantes ou pas du fauteuil (suivant les marques) - Units solidaires du fauteuil (mobiles avec lui en hauteur) - Fauteuils solidaires de la borne (sus- pendus) - Carts (mobiles sur roulettes) - Garages (Wall mount) fixés sur le meuble ou le mur
Les bornes fixées au sol : ont l’avan- tage en général de pouvoir être totalement indépendantes du fauteuil, d’être très stables et de permettre une bonne accessibilité technique des composants de l’unit.
Les units solidaires du fauteuil : très en vogue dans les années 70/80, ils passent doucement de mode. Leur principal avan- tage est de monter et de descendre avec le fauteuil pour offrir quelque soit la hauteur de travail, une accessibilité optimale au crachoir. Aujourd’hui le crachoir ne servant plus qu’à “un rinçage fin de soins” effectué en position “retour à zéro” il n’est plus nécessaire d’avoir cette solidarité fauteuil- unit, qui d’autre part alourdi la charge sur le fauteuil en le faisant fonctionner de surcroît en porte à faux. De plus dès que le patient bouge, tout bouge !
Les fauteuils solidaires de la borne : Cette conception que les plus jeunes pensent très moderne, date des années 70. A l’épo- que le fabricant français Gallus et l’italien OMS présentaient chacun un fauteuil sus- pendu à la borne (Le “Compact” et le “Pléiade”) L’avantage essentiel étant le dégagement au sol du fauteuil, tant pour les pieds et la pédale que pour le ménage. L’inconvénient étant que tout est monobloc, et que le jour du changement d’unit venu, il faudra tout réformer.
Les carts mobiles : Ils sont générale- ment élégants et peu encombrants, régla- bles en hauteur et escamotables sous les meubles. Leur indépendance permet de les changer plus souvent qu’un unit classique. (Il faut bien retenir que c’est l’unit, ses compo- sants et son instrumentation qui vieillissent le plus rapidement dans un équipement, pas le fauteuil, l’éclairage ...) Par contre leur cor- don ombilical est un handicap, et en aucun cas il ne doivent-être raccordés au pied du fauteuil, le patient se prenant alors les pieds dedans, ils doivent être raccordés côté meu- bles, à droite du fauteuil, avec leur pédale venant si possible du fauteuil (par un four- reau sous le niveau du sol)
Les garages : Comme on l’a déjà vu précédemment, c’est une excellente solution qui valorise le praticien et lui assure un confort de travail optimal, à condition d’être bien installé (dans un meuble latéral) et d’avoir sa pédale de commande avec un cordon sortant de la partie arrière du fau- teuil (ou à proximité) Leur boîte de raccor- dement pouvant bien souvent être disposée dans la partie basse d’un caisson de meu- ble, sous le dernier tiroir.
4. Le type de fauteuil.
Essentiellement Hydraulique ou à moto- réducteurs. Quelles différences ? Esthétiquement il n’y en a pas beau- coup, techniquement cela n’a rien à voir.
Les fauteuils hydrauliques fonctionnent avec de l’huile sous pression (Comme les presses ou les engins de travaux publics) Ils sont généralement très silencieux et puis- sants (préférables quand l’unit est solidaire) Ils fonctionnent avec une pompe hydraulique haute pression et des électrovannes. Ce mode de fonctionnement ne les autorisent pas à monter le patient et à remonter le dossier en même temps, ils sont aussi tribu- taires du poids du patient (et des fois de l’unit) quant à leur vitesse de descente. Et bien qu’assez rare, ils peuvent provoquer de belles fuites d’huile. Cette famille de fauteuil est très ro- buste, mais de moins en moins proposée par les fabricants qui lui préfèrent les moto-ré- ducteurs.
Les fauteuils à moto-réducteurs utilisent des moteurs électriques avec des jeux d’en- grenages (les réducteurs) ils peuvent syn- chroniser plusieurs mouvements à la fois (rapide pour atteindre les positions pro- grammées) Ils sont plus simples et plus accessibles aux techniciens et permettent souvent plus de fantaisies de programmation. Par contre ils sont plus bruyants et moins puissants que leurs cousins hydrauliques. Donc à éviter quand un unit doit leur être fixé sur le “dos” en plus du poids du patient.
5. Le coût de fonctionnement.
On achète souvent un bien d’équipe- ment coûteux (voir très coûteux) comme sa voiture ou son équipement sur des considé- rations subjectives ou les échos pas toujours objectifs de “radio-cocotier” Mais une fois sorti du magasin et instal- lé chez vous, pour ne pas dire “boulonné”, il faudra cohabiter avec ce matériel pendant quelques années. D’où la nécessité de pen- ser objectivement à la fiabilité et aux coûts de fonctionnement qui peuvent grever lour- dement le montant initial d’acquisition.
Ce n’est bien évidement pas au ven- deur d’un équipement qu’il faut demander si son matériel est fiable et peu coûteux à l’usage ! En 34 ans de carrière, je n’ai ja- mais entendu un seul d’entre-eux dire que son matériel avait des problèmes et que son exploitation coûterai “la peau des fesses” Mais à l’opposé, il ne faut pas non plus prendre pour argent comptant le seul argu- ment du prix des platines ou des cordons ! Car une platine électronique peut-être coûteuse en échange c’est vrai, mais il y a des marques ou modèles d’équipements où il n’y a jamais lieu de les changer, alors qu’une platine peut-être moins coûteuse pourra être changée 2 ou 3 fois en quelques années. Il est fréquent d’entendre un vendeur parler de son concurrent en disant que chez “X” les cordons d’instruments valent 400 Euros, c’est peut-être vrai, mais ces cordons à 400 Euros sont certainement de meilleure qualité que les siens, et le praticien peut peut-être aussi les changer lui même grâce à une prise débrochable, alors que les cor- dons de notre vendeur, de qualité plus lé- gère devront-être changés plus souvent et avec en plus l’intervention d’un technicien, donc une attente (perte d’exploitation) et un coût de main d’oeuvre et de déplacement à la clé.
Tout ceci, pour vous ouvrir les yeux et surtout les oreilles sur le discours “du cor- beau et du renard” Les principaux critères en la matière n’étant pas de prendre pour argent comptant toutes les belles histoires de personnes qui sont là pour vous les raconter, mais plutôt de faire confiance à des profes- sionnels réputés, des fabricants sérieux et ayant une structure de soutien de leurs concessionnaires sur le territoire en cas de besoin, et l’expérience de confrères ayant le même type d’exercice et d’exigences que vous ! Et j’insiste lourdement sur le même type d’exercice et d’exigences que vous, car certains travailleront à 4 mains, d’autres pas, certains reçoivent 4 ou 5 patients par jour, d’autres 30 ou 40, Untel fait réviser son équipement chaque année, un autre attend le pépin pour faire intervenir un tech- nicien. Et le plus important de tout, certains entretiennent correctement le matériel, et d’autres, hélas encore trop nombreux font le strict minimum.
Pour conclure, il faut aussi savoir se faire plaisir et ne pas hésiter à investir dans des outils performants, en plus de la satisfac- tion vous en aurez toujours pour votre ar- gent. La démarche sera plus professionnelle, car elle ne doit pas être la même que pour la fourniture dentaire où vous pouvez chan- ger de fournisseur à la volée.

http://www.athenadental.fr/


mercredi 18 décembre 2013

Le détartrage des dents

Le détartrage des dents est une intervention réalisée par un dentiste qui vise à enlever le tartre qui s'est accumulé sur la dentition.

Si la plaque dentaire est relativement facile à retirer à l'aide d'une brosse à dents, lorsque celle-ci s'est minéralisée (qu'elle s'est calcifiée et donc durcie) et qu'elle s'est changée en tartre, seul le détartrage permet de l'ôter.

Le détartrage peut être de deux sortes :

supra-gingival ;
sous-gingival.
Seul le détartrage supra-gingival (réalisé sur la partie visible des dents) sera visible et donc permettra de blanchir les dents.

Comme son nom l'indique, le détartrage sous-gingival, lui, s'effectue sur le tartre situé sur la partie de la dent qui se trouve dans la gencive et qui reste invisible. C'est pourtant celui-ci qui est le plus nocif.

Procédé du détartrage dentaire
Instruments employés pour le détartrage
Plusieurs instruments de détartrage sont employés.

Des appareils ultrasoniques sont le plus souvent utilisés en parallèle de curettes et de grattoirs à l'extrémité tranchante.

Les appareils ultrasoniques, vibratoires, vont décoller le tartre en passant dessus. Ils sont particulièrement intéressants dans la mesure où leur utilisation est pratiquement indolore.

Les grattoirs, eux, ont une action purement mécanique et exercent une action de grattage, généralement couplée aux ultrasons.

Au cours de la séance
Tout au long de la séance, de l'eau sous pression est projetée dans la bouche. Le but est d'éviter l'échauffement et de favoriser le décollement du tartre.

Par ailleurs, un autre instrument est glissé dans la bouche. Il s'agit d'un aspirateur destiné récupérer :

l'eau présente en excès ;
la salive ;
les morceaux de tartre susceptibles de se détacher et d'être ingérés.
Fin de la séance
La séance de détartrage est finie après que le dentiste a passé une polisseuse (une espèce de brossette ronde) sur les dents.

Enduit d'un gel ou d'une pâte faiblement abrasive, cet instrument rotatif va ôter les taches présentes sur les dents et les repolir.

Résultats du détartrage des dents
Le détartrage permet d'éviter les effets nocifs qu'entraîne le tartre à savoir :

le développement de bactéries ;
les maladies buccales ;
les irritations de la gencive.
Il lutte également contre le noircissement des dents.

http://www.athenadental.fr/category-2052-b0-D%C3%A9tartrage-Dentaire.html

mardi 17 décembre 2013

Respirateur à domicile

Chez un patient sain la ventilation spontanée assure le renouvellement de l'oxygène (inspiration) et l'évacuation du gaz carbonique (expiration). C'est la respiration.

La ventilation artificielle est une technique visant à aider un malade qui ne peut assurer lui-même sa ventilation. Son but est de prendre en charge partiellement ou totalement le travail respiratoire du patient. De ce fait, elle permet d'améliorer les échanges gazeux (apport d'oxygène et élimination du gaz carbonique) en assistant les muscles respiratoires.

Objectifs de la ventilation :

    Améliorer les gaz du sang
    Diminuer l'effort des muscles respiratoires

Il existe différents modèles et marques de ventilateurs (ou respirateurs), qui offrent plusieurs modes de réglages et d'options (alarmes, batteries, surveillance des paramètres…).
Selon la pathologie et le profil du patient, le médecin prescrit les paramètres les plus adaptés. Ils ne peuvent être modifiés sans prescription médicale.

Le relais et le suivi au domicile sont ensuite effectués par les techniciens spécialisés de SOS Oxygène.

Il existe deux types de ventilation artificielle :

LA VENTILATION NON INVASIVE

Elle se fait par l'intermédiaire d'un ventilateur, d'un circuit (éventuellement d'un système d'humidification) et d'une interface (masque nasal, bucco-nasal, et embout narinaire ou buccal)

LA VENTILATION INVASIVE

Elle se fait par l'intermédiaire d'un ventilateur, d'un circuit (éventuellement d'un système d'humidification) et devient invasive avec l'utilisation d'une canule trachéale.

http://www.athenadental.fr/RESmart%C2%AE-Respirateur-CPAP-Intelligent-BMC-630C-1676576.html

lundi 16 décembre 2013

Autoclave Classe B en Stérilisation

Les autoclaves sont des appareils de stérilisation à vapeur d’eau saturée sous pression, les instruments ainsi mis au contact de la vapeur d’eau à une certaine température et sur des laps de temps définis sont ainsi stérilisés par fractionnement du vide et prêts à être utilisés sur le patient. Un objet est considéré comme stérile uniquement lorsque aucun micro-organisme viable n’est décelable sur lui. Cette stérilité ne pourra être conservée que par un emballage prévu spécialement à cet effet.

Seul un autoclave de class B est capable d’assurer une bonne stérilisation. Les class S aussi, mais attention, un autoclave qui n’assure pas un cycle fragmenté est à éviter.

A qui s’adressent les autoclaves de classe B ?

La stérilisation totale proposée par les autoclaves de classe B permet à tous les praticiens (des tatoueurs aux podologues en passant par les dentistes…) de garantir à leurs patients des interventions en toute sécurité.

Pourquoi les autoclaves de classe B ?

La norme NF EN13060 de 2004 stipule :

« en France, il est considéré que (…) pour la stérilisation des dispositifs médicaux, seuls les stérilisateurs de type B sont recommandés car ils permettent le traitement des dispositifs médicaux emballés. Les deux autres types de stérilisateurs (S et N) ne répondent pas aux spécificités françaises puisqu’ils sont destinés soit uniquement à des produits non emballés , soit à des produits spécifiques et sont considérés comme des appareils de désinfection. (…) Il est rappelé qu’un dispositif médical non emballé ne peut pas être considéré comme stérile. »

En effet, l’autoclave de classe B permet une stérilisation totale des objets pleins (instrumentation…), creux (récipients…) ou poreux (compresses, champs, blouses tissées ou non tissées…) avec ou sans emballage. La pompe à vide d’un autoclave de classe B est beaucoup plus puissante qu’un autoclave de classe S, le vide d’air est total ce qui est indispensable car la présence d’air provoque des variations de pression.

Quelles précautions prendre ?

Il est indispensable de s’assurer de la qualité de l’eau utilisée : les autoclaves sont alimentés en eau par un réservoir d’eau déminéralisée ou par connexion directe au réseau d’eau courante dans le cas où l’autoclave est équipé d’un déminéralisateur d’eau (exemple : l’autoclave Sterilclave modèle BHD).

Qu’est-ce que le cycle « prion » ?

Il s’agit du cycle de stérilisation le plus efficace, recommandé par les autorités françaises, il consiste en un programme de 18 minutes à 134°C. La circulaire ministérielle n°138 du 14/03/2001 précise les « précautions à observer lors de soins en vue de réduire les risques de transmission d’agents transmissibles non conventionnels (A.T.N.C) » elle stipule entre autre :

« L’autoclavage est le seul procédé de stérilisation validé comme capable d’inactiver l’infectiosité liée aux ATNC (…). Les autoclaves pour charge poreuse doivent être réglés en routine pour obtenir une température de stérilisation de 134°C pendant une durée d’au moins 18 minutes. Aucun autre mode de stérilisation (chaleur sèche, irradiation, oxyde d’éthylène,…) n’est recommandé pour l’inactivation des ATNC ».

Qu’est-ce que la chaîne de stérilisation ?

L’autoclavage s’inscrit dans la chaîne de stérilisation composée des étapes suivantes :
1- décontamination dans un bain détergent et désinfectant.
2- Nettoyage en bac à ultrason contenant une solution enzymatique et désinfectante.
3- Rinçage et séchage.
4- Emballage dans des sachets de stérilisation ou des gaines de stérilisation. L’emballage permettra de conserver la stérilité du matériel après sa sortie de l’autoclave pendant 3 à 12 semaines. La fermeture des emballages peut se faire au moyen de rubans de stérilisation ou d’une thermosoudeuse.
5- Stérilisation en autoclave à vapeur d’eau.
6- Vérification de la stérilisation.

Comment contrôler la stérilisation ?

Les autoclaves de classe B Sterilclave et Tinhero proposent une imprimante intégrée (en option pour la gamme Sterilclave) qui permet un contrôle et une traçabilité de la stérilisation. Le ticket renseigne l’ensemble des données du cycle. Stericlave propose en outre une carte Sterilcard permettant de connecter l’appareil à un ordinateur et de mémoriser les cycles. Plusieurs tests permettent de contrôler le bon fonctionnement de l’autoclave :
Le test de Bowie Dick teste le fonctionnement de l’autoclave à vapeur d’eau de classe B et sa capacité à stériliser les objets poreux (il vérifie l’absence de poches d’air ainsi que la bonne pénétration de la vapeur). voir aussi la référence 29178.
Le test Helix : contrôle la capacité de l’autoclave à stériliser les corps creux.
ISP Prions : intégrateur contrôlant la stérilisation des ATNC.
ISP standard : intégrateur contrôlant la stérilisation des micro-organismes conventionnels.
Indicateur TST : intégrateur Browne, teste les trois paramètres de stérilisation : la durée du cycle, la température ainsi que la vapeur d’eau saturée.

On vous présente un autoclave de 23 litres:

1. Le SUN23-II-D autoclave, prise en la nouvelle Classe B de prEN13060 international, dispose de 3 vacuums pulsatoires, vacuum jusqu’à -0,9 Bar (-0,09Mpa), l’humitité reste moins de 0,2%.
2. Convenir à la stérilisation des instruments emballés, désemballés, solides, creux, poreux…
3. Contrôler avec le 16-bit micro-processeur avancé, facile à opérer.
4. Avec le test BD et le test de la procédure vacuum, on peut bien tester la pénétrabilité.
5. Le materiel de l’autoclave est l’acier inoxydable de 2,5 mm, et le type jet du générateur de vacuum assure l’efficacité de la stérilisation.
6. L’alarme système du tank de l’eau usée évite l’eau usée entrer la circulation de la stérilisation.
7. L’affichage numérique précis et le système avancé d’auto-test, assurent que vous pouvez obtenir les données du stérilisateur.
8. La porte de double-lock assure la sécurité d’opération.
9. L’Imprimante intégrée à enregistrer les informations de la stérilisation.

http://www.athenadental.fr/category-1888-b0-Autoclave-Dentaire.html

vendredi 13 décembre 2013

Amalgamateur Dentaire

En dentisterie, amalgame désigne un matériau utilisé pour obturer les cavités créées dans les dents pour éliminer les tissus dentaires affectés par les caries.

Avant de vous présenter un amalgamateur dentaire, il faut d’abord connaître une terme, soit amalgame dentaire. En dentisterie, amalgame désigne un matériau utilisé pour obturer les caries qui se forment dans les dents après que leur partie cariée a été nettoyée. Bien qu’encore appelé « plombage », l’amalgame dentaire ne contient plus de plomb depuis qu’on a scientifiquement démontré la haute toxicité de ce métal.

Les plombages sont apparus pour la première fois en Chine au IVe siècle av. J.‑C. Cependant, ce n’est qu’à partir de 1850 que leur usage se répand. Au cours du XIXe siècle, l’amalgame au mercure remplace progressivement l’amalgame à base d’or aux États-Unis.

Dans l’époque moderne, l’amalgame est déjà devenu un traitement populaire et commun pour obturer les dents cariées.

Un amalgame traditionnel est formé d’un mélange de mercure liquide (1 gramme environ par amalgame) et d’autres métaux en poudre

mercure : permet la plasticité du matériau lors de sa mise en place. Il représente 50 % de la masse.

argent : c’est le métal majoritaire après le mercure (30 % de la masse) ;

cuivre ;

étain ;

zinc (pas toujours présent) ;

autres métaux : ils sont ajoutés par les fabricants mais non révélés (secret de fabrication) pour améliorer le temps de prise ou les propriétés mécaniques finales du mélange. Certains amalgames contiennent du béryllium (métal toxique et très réactif) ou du palladium.

Ce mélange conduit à un matériau final très performant pour obturer les dents cariées. Le pourcentage de mercure dans les nouveaux alliages descend à 40-45 %. Dans un cabinet dentaire, on utilise souvent un équipement pour mélanger bien les matériaux d’obturation, c’est-à-dire un amalgamateur dentaire.

Un amalgamateur dentaire permet de former des amalgames pour le traitement des caries dans les dents. Dans mon article suivant, je vous présenterai cet appareil avec plus de détails.

Plus d'infos: http://www.athenadental.fr/ZoneRay%C2%AE-HL-AH-G6-Amalgamateur-Dentaire-167728.html

jeudi 12 décembre 2013

Choisir une lampe à polymériser

Acheter une lampe à polymériser est un investissement important : par le prix qui est un élément capital, par le choix du modèle qui conditionne les utilisations, par la fonctionnalité qui permet ou non une multitude d'actes au cabinet.

Lorsqu'on désire s'équiper d'une lampe à photopolymériser il est nécessaire de déterminer pour quelles utilisations. L'avènement du "blanchiment" fauteuil a changé les données et de plus en plus on s'oriente vers des lampes multifonctions. La capacité de polymérisation (puissance) et sa rapidité (temps d'insolation) sont en outre des facteurs importants. Peu de lampes offrent les deux. Les plus modernes sont les lampes à plasma qui permettent de polymériser en un temps record (3 sec équivalent à 20 sec pour une lampe classique) et offrent la possibilité de l'éclaircissement au fauteuil. Leur prix peut en revanche être un obstacle. Cependant, au vu du service rendu et de la qualité de l'insolation, l'investissement reste un excellent rapport qualité-prix. Dans cette catégorie, la lampe Sapphire de Denmat offre toutes les possibilités requises pour la dentisterie moderne.
Si l'on désire investir moins et garder toutes ces fonctions, une lampe halogène modifiée permet de réaliser tous les types de collages et de procéder à des éclaircissements au fauteuil (avec les produits adaptés). Les temps d'insolation sont légèrement plus élevés et la capacité de polymérisation un peu plus faible que pour les précédentes. Leur prix est tout à fait abordable (autour de 2200 euros).
Dans cette catégorie on peut recommander la lampe Virtuoso Phase II de Denmat.

Quant aux lampes à LED, nouvellement mises sur le marché, l'utilisation en technique d'éclaircissement au fauteuil est totalement impossible. Leur puissance ne permet que la polyumérisation de composites en techniques directes et il reste à démontrer leur efficacité dans les collages indirects.

Plus d'infos, cliquez ici: http://www.athenadental.fr/HEMAO%C2%AE-DP385C-Lampe-LED-%C3%A0-photopolym%C3%A9riser-167606.html

mercredi 11 décembre 2013

Blanchiment Dentaire

La  coloration des dents est due à plusieurs facteurs intrinsèques (comme la dévitalisation) ou extrinsèques (tel que le tabac, les différents colorants alimentaires…)
Pour avoir un sourire éclatant de blancheur, deux procédés de blanchiment peuvent être appliqués eux dents :

  - au fauteuil avec une lampe de blanchiment
  - Ambulatoire avec des gouttières (à la maison ou au bureau)

Ces deux techniques peuvent vous faire gagner plusieurs teintes dans le processus d'éclaircissement.

Les blanchiments dentaires doivent êtres précédés par la signature d’une décharge de la part du patient  appelé consentement éclairé au blanchiment mentionnant que ce dernier a bien compris les gènes qui peuvent être entraîné par cet acte ( hyper sensibilité, irritation des gencives …)

De nombreux experts précisent qu''il est conseillé de prendre l'avis de son chirurgien-dentiste afin d'examiner les dents et la bouche avant de d'effectuer un blanchiment des dents.

Il est important de connaitre les risques des produits utilisés pour le blanchiment des dents survenant essentiellement lorsque les concentrations sont supérieures à celles autorisées :
Hypersensibilité des dents (douleurs lors de l'ingestion d'aliments froids).
Modification de l'émail.
Usure prématurée des dents.
Irritation de la bouche.
Fragilisation des dents.
Dégradation de la jonction entre la dent et l'amalgame.
Surface des plombages fragilisée.
Irritation de la gencive.

http://www.athenadental.fr/category-2048-b0-Blanchiment-Dentaire.html

mardi 10 décembre 2013

Paralléliseur et prothèse dentaire

Le paralléliseur est un dispositif mécanique représentant un axe vertical déplaçable, tout en restant parallèle à lui-même, au-dessus d’un modèle de travail disposé sur un plateau. Dans le cas d’un plateau orientable, pour chaque orientation du modèle, l’axe vertical du paralléliseur matérialise l’axe d’insertion et de désinsertion des prothèses amovibles partielles.

Outil fondamental pour la fabrication de stellites, le paralléliseur doit être utilisé avec une minutie particulière…  Sinon c’est malheureusement ce qui va faire la différence entre une prothèse dont l’assise est maximisée en bouche et celle dont l’inconfort est maximisé.  Le paralléliseur était jusqu’à il y a quelques mois, le seul outil dont nous disposions pour comprendre, mesurer, régir les propriétés physiques entourant la rétention d’une prothèse partielle amovible.  attention au paralléliseur

D’allures plutôt simple, le parralléliseur a un mode d’emploi d’une précision surprenante.  Il est très facile de mal utiliser cet appareil.  L’analyse du modèle maître au paralléliseur comporte plusieurs sources d’erreurs potentielles et malheureusement, certaines d’entre-elles sont difficilement contrôlables.  Et là, n’allez pas croire que je veux ainsi justifier les limites de nos techniques de laboratoire, bien au contraire.  Je veux simplement vous aider à faire la différence entre les enfants et les adultes au moment de confier la responsabilité de la qualité de vos travaux dentaires. 

Comme j’ai déjà dit aux techniciens qui s’occupaient de mes travaux de laboratoire à l’époque : « Il n’y a jamais un patient qui m’a dit que ma pile était bien taillée.  La qualité de ma job va être jugée par la qualité de votre job.  Vous avez ma carte d’affaires entre les mains.  C’est vous autres qui allez faire en sorte que mon patient va être content ou pas. »  Bon, j’avoue que je poussais peut-être un peu fort parce que, faut aussi que je vous dise qu’il n’y a jamais eu un technicien qui m’aille tordu un bras pour accepter un travail inadéquat.  N’oubliez jamais que la  responsabilité finale de l’acceptation ou du refus de travaux de laboratoire demeure la nôtre, les dentistes.  Comme on contrôle se qu’on mesure, quelles sont donc les principales sources d’erreurs reliées à l’utilisation du paralléliseur.

1)      Le rendement constant du parralléliseur.  Il est important de bien vérifier son état avant de commencer toutes analyses.  Certains modèles avec ajustements multiples nécessitent une attention particulière.  Il n’est pas rare de constater qu’un simple relâchement de tension de certaines vis (dû à l’utilisation répétitive) peut se traduire par une analyse fautive des zones de rétention.

2)      La stabilité du modèle maître.  Il est impératif d’avoir un modèle qui permet la stabilisation de son positionnement tridimensionnel  sur la base du paralléliseur et ce, pendant toute l’analyse.  À cet effet, le laboratoire doit s’assurer de la qualité de la base du modèle.  Au besoin, une nouvelle base devra être coulée pour minimiser les risques d’erreurs de mouvements liées à l’instabilité du modèle.

3)      La qualité des outils de mesure et de marquage. Un contrôle régulier des différents outils de travail associés au paralléliseur (gauge de rétention, couteaux à cire) doit être effectué pour s’assurer de ne pas fausser l’analyse.  Certains d’entre vous vont croire que j’exagère en insistant sur la qualité des outils de marquage.  Cependant, c’est probablement une des erreurs les plus répandues lors de l’analyse des zones de rétention.  Les mines de crayon généralement utilisées pour marquer les lignes du plus grand contour, doivent être régulièrement changées.  L’usure créée par le frottement répétitif des modèles sur le bord latéral de la mine se traduit par la déformation permanente de celle-ci.  Cette déformation est directement responsable de certaines imprécisions lors des étapes de marquage.  Ces imprécisions peuvent à elles seules rendre cliniquement inacceptable la rétention d’un stellite.

Bien que primordiale à l’utilisation adéquate du paralléliseur, ce contrôle d’erreurs doit être fait de concert avec l’application théorique précise des principes cliniques associés à l’utilisation physiologique d’un stellite.  D’analyser et de bloquer les zones de rétention, c’est une chose, mais d’intégrer cette analyse à un environnement buccal réel, de comprendre leurs impacts et limites en sont une autre.  N’oubliez jamais que le but ultime de toutes ces démarches et analyses reste toujours le même;  le bien être du patient.

Voulez-vous connaitre sur http://www.athenadental.fr/category-1950-b0-Vibrateur-et-Parall%C3%A9liseur.html

lundi 9 décembre 2013

Qu’est ce qu’un hydropulseur ?



Un hydropulseur dentaire est un dispositif qui a deux fonctions principales :

il permet d’éliminer les débris, bactéries et autre plaque dentaire pouvant se loger  et se développer entre les dents grâce à un puissant jet réglable
il permet de tonifier les gencives grâce à l’effet massage du jet dentaire
Certains appareils ont d’ailleurs deux programmes : un programme de jet continu pour éliminer les résidus indésirables, un autre pour la fonction massage.

On l’appelle aussi parfois jet bucco-dentaire ou hydropulseur dentaire, il est très efficace aussi bien dans la prévention de l’apparition des caries qu’en prévention de la gingivite en favorisant une excellente hygiène bucale.

D’un point de vue fonctionnel c’est en fait le remplaçant moderne du fil dentaire, en beaucoup plus efficace. Le fil avait un gros inconvénient : il irritait les gencives provoquant régulièrement des saignements lors de son utilisation alors que cela est impossible avec un jet dentaire.

De quoi est composé un jet dentaire ?

jet dentairePrincipalement de 2 à 3 éléments :

un manche relié à un réservoir motorisé OU
un manche motorisé intégrant un réservoir (c’est le cas des hydropulseurs de voyage)
des canules ou buses (généralement 4 canules sont fournies pour équiper toute la famille)

Quel hydropulseur choisir ?

Si vous êtes en couple ou en famille, un équipement complet non-portatif vous comblera par la grande capacité de son réservoir et sa solidité de fabrication.
Si vous êtes souvent en voyage et que vous souhaitez emporter votre équipement avec vous, un hydropulseur de voyage est une excellente solution.


Plus d'informations, cliquez ici: http://www.athenadental.fr/category-2080-b0-Hydropulseur-dentaire.html

samedi 7 décembre 2013

Carie dentaire

Une carie est une pathologie infectieuse de la dent endommageant sa structure. La lésion la plus courante au monde est la carie dentaire. Une carie correspond à la dégradation progressive des tissus de la dent.
Développement
Une plaque dentaire est composée de bactéries, d'acides et de résidus d'aliments mêlés à la salive. Les bactéries transforment les résidus alimentaires en acides qui attaquent l'émail dentaire et provoquent la carie dentaire.

Causes

1.Mauvaise hygiène bucco-dentaire.
2.Consommation excessive de sucres.
3.Tabagisme.
4.Diabète.


Symptômes
Une carie dentaire peut évoluer pendant plusieurs semaines ou mois sans provoquer de douleurs. Les premiers symptômes de la carie dentaire surviennent lorsque la carie dentaire a déjà évolué et que la dent est profondément atteinte. Des douleurs au niveau de la dent cariée peuvent alors apparaître. Un mauvais goût dans la bouche s'observe également.

Si la dent n'est pas soignée, des complications peuvent apparaître comme la formation d'un abcès et la mort de la dent.

Prévention
La prévention des caries dentaires passe avant tout par une bonne hygiène bucco-dentaire, un brossage régulier (au moins matin et soir) et de préférence après chaque repas. Les boissons trop sucrées comme les sodas et jus de fruits doivent être idéalement évités et une consultation chez le dentiste à intervalles réguliers permet de détectter une carie et de la traiter au plus tôt.
Brossage des dents
Les dents doivent être brossées au moins 2 fois par jour en brossant d'abord les dents du haut puis celles du bas.

Le mouvement doit être rotatif afin de brosser les dents, de la gencive vers la dent. La brosse à dents est placée en diagonale (pour incliner les poils vers la racine des dents) et inclinée à 45 degrés sur la gencive.

Les brossage s'effectue verticalement du haut vers le bas, mais jamais horizontalement, doucement, dent par dent. Chaque dent, doit également brossée à l'intérieur, toujours de bas en haut.

La brosse à dents dit être régulièrement changée. Les professionnels conseillent un changemenet de brosse à dents tous les 3 à 6 mois. Une brosse neuve permet d'enlever davantage de débris alimentaires qu'une brosse utilisée depuis plusieurs mois, voire plusieurs années.

vendredi 6 décembre 2013

Les maladies parodontales causent des dents perdues

Les maladies parodontales atteignent à des degrés divers plus de la moitié des adultes et 15 % de la population présente des atteintes sévères des structures de soutien de la dent nécessitant des soins complexes et coûteux.
Quelles sont les maladies parodontales ?
Maladies paradontalesLes maladies parodontales sont des atteintes concernant les tissus de soutien de la dent : gencive, os, ligament (reliant la dent à l’os) et le cément (mince couche située en surface de la racine). Selon le Dr Jean-Luc Sabban, chirurgien-dentiste et président du Groupe innovation prévention santé (GIPS), il convient de distinguer parmi ces maladies inflammatoires d’origine infectieuses :
Les gingivites. Généralement bénignes et faciles à traiter, elles se signalent par un saignement, notamment lors du brossage des dents, une rougeur et un oedème douloureux des gencives. L’examen met en évidence la présence d’une plaque dentaire bactérienne agressive entraînant des symptômes encore réversibles. Si cette gingivite persiste, elle peut dégénérer en parodontite ;
Les parodontites se caractérisent par la perte d’attache de la gencive autour de la dent. Les bactéries colonisent l’espace entre la dent et la gencive formant des poches parodontales. En l’absence de traitements appropriés, ces poches risquent de provoquer le déchaussement puis la perte de la dent. "Selon l’âge d’apparition, le degré de perte osseuse et le type de lésion, on distingue trois grandes familles : la parodontite juvénile, la parodontite chronique de l’adulte et les parodontite agressives" précise le Dr Jean-Luc Sabban.
D’où viennent ces maladies ?
Selon le Dr Jean-Luc Sabban, "les causes des maladies parodontales sont multiples. Il y a une dizaine d’années l’accent avait été mis sur la présence de certaines espèces bactériennes qui étaient retrouvées dans les lésions. Ceci reste en partie vrai mais les études montrent de plus en plus le rôle joué par l’hôte (terrain) suggérant un déséquilibre entre la présence de micro-organismes et sa réponse immunitaire". La conjonction de plusieurs facteurs est nécessaire au développement de ces pathologies.
La présence de bactéries pathogènes  et l’absence de bactéries protectrices  dans la flore bucco-dentaire ;
Une réponse immunitaire insuffisante, favorisée par le stress, les modifications hormonales liées à une grossesse ou à la ménopause, les allergies, les maladies cardiovasculaires, une mauvaise hygiène dentaire, une chimiothérapie, des facteurs génétiques, certaines infections virales, le tabagisme et le diabète.
Des conditions locales spécifiques telles que la présence de tartre, les mauvaises positions dentaires et les obturations défaillantes.
Les effets les plus immédiats de ces maladies parodontales sont locaux et se traduisent par un déchaussement des dents. Mais elles peuvent avoir des répercussions sur tout l’organisme du fait du passage de germe et de facteurs inflammatoires dans la circulation sanguine. "Les études épidémiologiques ont mis en évidence des liens entre maladie parodontale et pathologies cardiovasculaires, diabète, accouchements prématurés, faible poids de naissance…" nous précise le Dr Sabban.
Par souci d’apparence ou pour prévenir ces risques, il convient d’agir avant la survenue de la maladie pour deux principales raisons. D’une part, les traitements actuels parviennent au mieux à stabiliser la maladie, mais rarement à régénérer le parodonte ! D’autre part, ils ne sont pas pris en charge par l’Assurance maladie.

jeudi 5 décembre 2013

Remèdes naturels contre la mauvaise haleine

Une solution simple pour la mauvaise haleine

Avoir mauvaise haleine lorsqu’on a au programme une rencontre importante n’est vraiment pas souhaitable. Toutefois, il existe des solutions simples à ce problème,  la première consistant à adopter au quotidien certaines habitudes qui empêcheront les bactéries causant la mauvaise haleine de proliférer dans la bouche. Un rince-bouche efficace, un bon dentifrice et l’emploi régulier de la brosse à dents et du fil dentaire y contribueront.

Buvez une tasse d'eau

La bouche sèche est un véritable paradis pour les bactéries qui causent la mauvaise haleine. Buvez de l’eau en la faisant circuler dans votre bouche. Les bactéries seront délogées, du moins temporairement, et votre haleine sera plus douce.

Mâchez un peu de persil

À la fin d’un dîner d’affaires ou d’un souper romantique, croquez la tige de persil qui garnit votre assiette en la mastiquant bien. Le persil est riche en chlorophylle, substance réputée pour son action désodorisante et germicide.

Mangez une orange


L’acide citrique qu’elle renferme stimulera vos glandes salivaires et favorisera la formation de salive, ce qui rafraîchira votre haleine. A défaut d’orange, mangez ce que vous avez sous la main, à l’exception des aliments qui rendent l’haleine fétide, par exemple l’ail, l’oignon ou les fromages forts. Manger favorise la production de salive, ce qui contribue à éliminer les dépôts se logeant à l’arrière de la langue et causant les mauvaises odeurs.

Raclez votre langue contre vos dent

Raclez vigoureusement votre langue contre vos dents. Il se peut que votre langue soit enduite de bactéries qui font fermenter les protéines, produisant des gaz malodorants. En raclant votre langue, vous délogerez ces bactéries que vous pouvez ensuite éliminer par rinçage.

Nettoyez votre langue avec une cuillère

Vous pouvez aussi utiliser une cuillère de métal ou de plastique, en la plaçant à l’arrière de votre langue et en la tirant vers l’avant. Répétez ce geste quatre ou cinq fois. Faites la même chose sur les deux côtés de la langue. Attention, toutefois, à ne pas pousser la cuiller trop loin dans la bouche; vous risqueriez de provoquer des haut-le-cœur.

mercredi 4 décembre 2013

Parodontite

La parodontite est une maladie inflammatoire qui affecte le parodonte, c'est-à-dire l'ensemble des tissus qui supportent et qui soutiennent les dents. Parmi ces tissus, le parodonte se compose de l'os alvéolaire, la gencive, le ligament péridentaire et le cément.

La parodontite est alors une perte progressive de l'os alvéolaire autour des dents. Si ce n'est pas traité, les dents commencent à bouger progressivement et tombent éventuellement.

Cette maladie est principalement causée par des microorganismes (bactéries et protozoaires nocifs), ainsi qu'une réponse agressive du système immunitaire contre ces microorganismes. Le dentiste en fait le diagnostic en détectant la présence de poches parodontales (espaces créés entre la gencive et les dents) ainsi que l'analyse des radiographies pour évaluer la perte d'os.


Classification
La parodontite fait partie des maladies parodontales qui affectent le parodonte à différents niveaux. La gingivite en est le premier stade, et celle-ci se manifeste par de l'inflammation de la gencive en surface seulement sans toucher l'os alvéolaire. La gingivite peut être guérie par de bonnes méthodes d'hygiène buccodentaires.
Lorsque l'inflammation et l'infection atteignent le parodonte de façon plus profonde, on parle alors de parodontite. Il en existe plusieurs étapes qui dépendent de combien de tissus et d'os alvéolaire ont été détruits. Une poche parodontale est un espace entre une dent et la gencive autour. En mesurant les poches à six endroits autour de chaque dent, on peut avoir une idée de la destruction d'os et de la sévérité de la parodontite :
une poche de 1-2 mm est considérée normale;
une poche de 3 à 4 mm désigne une parodontite débutante;
une poche de 5 à 6 mm désigne une parodontite modérée;
une poche de 7 mm et plus désigne une parodontite sévère.

Étapes de la parodontite
Une poche peut être erronée s'il y a récession gingivale, c'est-à-dire qu'il y a eu un déchaussement de la gencive. Dans ces cas, les dents ont une apparence plus longue, et les poches parodontales peuvent être moins profondes même s'il y a eu beaucoup de destruction d'os alvéolaire.
Une autre façon qu'une poche peut être erronée est dans le cas d'hyperplasie gingivale. C'est une condition plus rare où la gencive se gonfle et embarque sur la dent, rendant celle-ci plus courte. Il peut alors y avoir une poche gingivale significative sans qu'il y ait de destruction d'os alvéolaire.
Une autre façon de classer la maladie est de la désigner comme parodontite localisée si seulement quelques dents sont affectées (< 30 %) et de parodontite généralisée si plusieurs dents sont atteintes (> 30 %).

mardi 3 décembre 2013

Détartrage et polissage dentaire

Nettoyage dentaire

Un nettoyage chez le dentiste est conseillé tous les six mois même si une personne a une bonne hygiène dentaire. Un nettoyage plus fréquent, tous les trois à quatre mois peut être conseillé chez les gens souffrant de maladies de gencives.
Étapes


Détartrage des dents

Le détartrage consiste à déloger tout le tartre (plaque calcifiée) accumulé sur les dents ou entre les dents et la gencive. Cette procédure ne peut que se faire mécaniquement chez le dentiste à l'aide d'instruments ou d'appareils ultrasoniques.
Polissage des dents

Le polissage a pour but d'adoucir et nettoyer toute plaque dentaire accumulée sur les surfaces des dents et des restaurations (plombages, couronnes, etc.). Le polissage permet aussi d'enlever les taches sur les dents.

Si la plaque dentaire n'est pas enlevée, elle se transformera en tartre. Si, en plus, le tartre n'est pas enlevé régulièrement il peut causer des maladies des gencives et une halitose (mauvaise haleine). Le nettoyage chez le dentiste est donc un complément nécessaire aux soins d'hygiène dentaire à la maison, soit le brossage et la soie dentaire.

lundi 2 décembre 2013

La dent

Les dents sont considérées comme un organe puisque chacune d'elle est irriguée par des vaisseaux et innervé par un nerf. Cet organe est vivant bien que minéralisé, et implanté solidement dans l'os auquel il est arrimé par une articulation.


LES DIFFÉRENTES DENTS

D'une manière générale, une dent possède une racine qui est implantée dans l'os de la mâchoire, et une couronne, c'est à dire la partie visible de la dent qui émerge de la gencive .
La racine peut être simple, comme c'est le cas des incisives ou des canines ou multiple comme c'est le cas des molaires.
La couronne a une forme très précise qui dépend de chaque dent : les incisives situées sur le devant de la mâchoire sont plates et tranchantes et servent à couper ; les canines sont pointues et allongées avec pour action de déchirer les aliments. C'est pour cela que les animaux carnivores les ont particulièrement développées. Les prémolaires sont carrées, sont implantées par une racine, munies de deux cuspides (les petits reliefs situés à la face supérieure de la dent) et broient les aliments, alors que les molaires, très puissantes broient également les aliments mais avec beaucoup plus de force puisqu'elles sont implantées par 3 ou 4 racines ce qui rend leur extraction difficile, et comprennent 4 à 5 cuspides. Les dents de sagesse sont des molaires supplémentaires situées dans le fond de la bouche.
À l'âge adulte, on possède 32 dents. Chaque mâchoire en possède donc seize : 4 incisives, 2 canines, 4 prémolaires, 4 molaires et 2 dents de sagesse.
L'enfant n'en possède que 28 car il lui manque les 4 dents de sagesse qui n'apparaîtront que vers l'âge de 18 ans. Les dents de l'enfant s'appellent des dents de lait et tombent une par une à partir de l'âge de 6 ans, en commençant généralement par les incisives, puis les canines, ensuite les prémolaires et les molaires.
C'est à peu près dans le même ordre que se mettent à pousser les dents de lait chez le bébé, qui apparaissent à partir de l'âge de 6 mois, à l'origine de feux de dents désagréables. Les dents de lait au nombre de 20 seront en place à l'âge de 3 ans et ne resteront que 3 ou 4 ans en place pour tomber et faire place aux dents définitives.